Il était une jeune femme, qui n’en était plus tout à fait une. Elle avait été générée artificiellement, comme une poupée ou robot androïde. Elle n’avait pas de parents, et pas de passé. Pour vivre et penser, elle regardait le monde, et elle recopiait, sans être jamais capable de créer autre chose que de l’identique. Le temps en elle s’était figé. Aussi artificiellement intelligente était-elle, elle était incapable de créer. Les rêves en elle ne trouvaient pas de terreau. Titre à jamais provisoire nous conte son histoire, tragique et absurde. Toute ressemblance avec les humains d’aujourd’hui, hautement technologiques et peut-être bientôt robotisés, n’est pas tout à fait fortuite…
Texte et mise en scène Guillaume Béguin, avec l’équipe artistique Jeu Scénographie Lumières Musique, son et régie son Costumes Perruques, masques et maquillage Collaboration artistique Assistanat à la mise en scène
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Régie générale Maxime Fontannaz Régie lumières Construction Couture Production Coproduction Soutiens |