Rébecca Balestra reçoit le prix suisse des arts de la scène
Rébecca Balestra est sans conteste une héroïne des temps modernes. À faire la chronique de notre monde comme il est, bouleversé et tumultueux…
Rébecca Balestra est sans conteste une héroïne des temps modernes. À faire la chronique de notre monde comme il est, bouleversé et tumultueux…
60 ans que ça dure ! Alors, on fête ça ensemble ?
Article des Inrocks sur « Cécile », de Marion Duval, spectacle coproduit par le Théâtre Saint-Gervais, sélection suisse en Avignon
Le collectif de Sophie Perez fait un sort burlesque à «Titus Andronicus» dans «La vengeance est un plat», spectacle jouissif et savant sous ses airs foutraques.
Tout commence par un salon cosy. Le genre de salon où on aurait envie de se pelotonner, si on était du genre à briser le quatrième mur pour monter sur les planches.
Tous les poètes habitent Valparaíso se présente comme un spectacle en forme de boule à facettes
Vous vous demandez peut-être comment a réagi le Martinez helvétique lorsqu’il a appris le détournement de ses poèmes? Avec la surprise amusée de quelqu’un qui se découvre un jumeau à l’autre bout de l’océan. Avec l’émotion aussi d’apprendre que sa poésie, restée discrète en Europe, ait pu avoir un tel impact au Chili.
rendre de la hauteur : tel est le leitmotiv du spectacle-concert Le Début, à voir au Théâtre Saint-Gervais jusqu’au 12 mars. Un retour vers le passé vertigineux pour ressentir et se questionner sur ce qu’il y avait avant, avant nous, avant le monde tel que nous le connaissons.
Avec un récit conducteur qui ouvre des espaces, non comme des parenthèses mais comme des propos à part entière, la proposition formelle du spectacle permet de créer une narration entremêlée de personnel et d’universel, gardant le collectif au premier plan tout du long.
the end you will love me, (en)quête sur lʹ(im)possible guérison, cʹest une création originale de Caroline Bernard, adaptée et mise en ondes par Clara Alloing.
Guillaume Béguin, invité plateau du 12h45
Tout au long de la saison, le tandem Céline Nidegger-Bastien Semenzato diffuse et étoffe sa «Bibliothèque de projets non achevés ou simplement évoqués». On s’y plonge.
Jusqu’à la fin de la semaine, le Théâtre Saint-Gervais accueille la 2e édition d’AiiA, ce festival voué à mettre en dialogue humains, machines et organismes naturels.
Résilience mon cul, c’est un stand-up (presque) non autocensuré et sans (trop de) compromis, agrémenté de quelques chansons chansons hyper drôles, ou sinistres, ça dépend. Le quota de punchlines sera respecté et certaines tomberont à plat.
Le festival AIIA revient pour une 2e édition du 13 au 23 octobre au Théâtre Saint-Gervais, à Genève. Les artistes en résidence ont pris avec eux une intelligence artificielle, Chimère, qui a pour mission de les aider durant un mois à créer des œuvres et des performances originales. Un doux mariage entre l’homme et la machine.
La 2ème édition du Festival AiiA se déroule du 13 au 23 octobre et investit les 9 étages du Théâtre Saint-Gervais en proposant un festival expérimental en art et en intelligence artificielle.
Au centre du projet un grand laboratoire de recherche et de questionnements philosophiques autour de l’IA avec des conférences, une exposition, une résidence d’artistes et des ateliers pour enfants et adultes.
Après This is not a love song et la thématique de la communication dans les relations amoureux, Lola Giouse explore les rapports amicaux dans Lust for life. Il y est question d’empathie, d’écoute et de solidarité, avec l’écriture toujours aussi fine de Lola Giouse. Un coup de cœur à voir à Saint-Gervais jusqu’au 9 octobre.
« L’émotion! Cet endroit fondamental
où il faut descendre sans hésiter. »
Lola Giouse